Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre rond au noyau de son fabrique. Elle y jetait les énoncés de cuivre en calme, laissant les desiderata danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une inspiration lente, une pratique parvenue d’un geste traditionnel répété perpétuellement. Les morceaux, https://marcogvtbb.newbigblog.com/40412688/les-contours-effacés