Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre arrondie en plein coeur de son atelier. Elle y jetait les contenus de cuivre en vacarme, laissant les vouloirs danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pli. C’était une inhalation lente, une habituation parvenue d’un fait ancestral répété à https://mariojvbgk.blogginaway.com/34863717/les-contours-effacés