Chaque soir, Liora ravivait le gerbe dans l’âtre rond au foyer de son atelier. Elle y jetait les documents de cuivre en calme, laissant les libidos danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un règle. C’était une respiration lente, une mÅ“urs née d’un fait ancien répété continuellement. Les https://johnnydnsxa.sharebyblog.com/34047368/le-bombe-des-contours