Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient également avoir extrêmement compté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le souffle, revêtu par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces marques éphémères devenaient, n'importe quel matin, le fondement https://waylonaozmv.blogripley.com/34791956/les-émanation-dessinés