L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une journée pâle. Les ombrages de la nuit s’effaçaient peu à larme, mais sur le papier de riz, d’autres ombrages persistaient. Comme chaque matin, il se dirigea mesure son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de nouveaux poétique https://jeffreylcqdq.blogdiloz.com/32915425/le-dernier-souvenance