Le vent hurlait par les hautes caen de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite auditeur de épreuve, un moine s’éclairait à la clarté vacillante d’une chandelle. La pécule était emplie de l’odeur du parchemin familial et de l’encre https://arthurufhgf.blog4youth.com/34443936/le-borne-de-la-destinee