Le silence pesait lourdement dans l’horlogerie oubliée, rien que troublé par le tic-tac inégal des horloges accrochées aux murs. Étienne avançait mollement entre les étagères recouvertes de poussière, observant tout cadran, tout engrenage figé ou en mouvement. Ici, les siècles ne suivait plus une seule téléguidage. Il se fragmentait, s’étirait, https://emilioxgmqt.blogsvila.com/33929519/l-heure-qui-il-n-y-a-pas