Arthur resta figé sur la scène, le regard clair sur le violon suspendu qui venait de vibrer dans le vacarme du théâtre. Il n’y avait personne, pas de mouvement, zéro brise assez forte pour disposer un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer seul, comme par exemple s’il répondait à un https://alexisjvemu.newsbloger.com/34395983/la-partition-du-temps-figé